Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

i
ii
iii
iv
v
vi
vii
viii
ix
x

Rennell Est

Îles Salomon
Facteurs affectant le bien en 2018*
  • Cadre juridique
  • Chasse commerciale
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Exploitation minière
  • Modification des eaux de l’océan
  • Pêche/collecte de ressources aquatiques
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Tempêtes
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Changement des eaux océaniques
  • Chasse commerciale
  • Pêche / collecte des ressources aquatiques (Surexploitation du crabe de cocotier et d’autres ressources marines)
  • Exploitation forestière/bois, Extraction forestière
  • Espèces terrestres exotiques/envahissantes
  • Tempêtes
  • Exploitation minière
  • Système de gestion/plan de gestion (gestion prévisionnelle et administration du bien)
  • Cadre juridique (législation)
  • Pêche commerciale (problème résolu)
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Extraction forestière 
  • Espèces envahissantes 
  • Surexploitation du crabe de cocotier et d’autres ressources marines 
  • Changement climatique 
  • Législation, gestion prévisionnelle et administration du bien
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Mesures correctives pour le bien

Pas encore identifiées 

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Pas encore identifié
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2018

Montant total accordé : 56 000 dollars EU, UNESCO/Fonds-en-dépôt flamand : soutien technique à Rennell Est ; 35 000 dollars EU, UNESCO/Fonds-en-dépôt flamand : soutien à Rennell Est

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2018
Demandes approuvées : 2 (de 2006-2012)
Montant total approuvé : 56 335 dollars E.U.
2012 Survey of the Condition of the Marine Ecosystem within ... (Approuvé)   29 985 dollars E.U.
2006 Exchange visit between East Rennell and Tetepare Island ... (Approuvé)   26 350 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2018**

Mars-avril 2005 : mission de suivi UNESCO/UICN ; octobre 2012 : mission de suivi réactif UICN ; novembre 2015 : mission de conseil Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2018

L’État partie n’a pas soumis le rapport sur l’état de conservation demandé par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session (Cracovie, 2017).

Le Centre du patrimoine mondial a reçu, le 3 mai 2018, une lettre des peuples autochtones Tuhunui de Rennell Est indiquant que lors d’une récente réunion de son conseil, ils avaient décidé de « retirer toutes leurs terres coutumières du site du programme du patrimoine mondial de Rennell Est ». La lettre indique également que toutes les négociations relatives à la proposition d’inscription de Rennell Est et par la suite son statut de patrimoine mondial « ont été menées avec les groupes élus de la communauté mais pas avec les peuples autochtones qui possèdent les terres ». Ils indiquent en outre qu’ils s’opposent à la proposition du gouvernement des Îles Salomon visant à déclarer la zone du bien comme étant protégée en vertu de la Loi sur les zones de protection de 2010.

Le 16 mai 2018, le Centre du patrimoine mondial a envoyé une lettre à l’État partie pour recueillir ses commentaires sur le sujet. Au moment de la rédaction de ce document, l’État partie n’avait pas encore fourni de réponse.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2018

En l’absence d’un rapport sur l’état de conservation du bien, la situation actuelle du bien et les avancées effectuées par l’État partie relatives à la mise en œuvre des demandes du Comité et à l’atteinte de l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ne peuvent être évaluées. Il est regrettable qu’en l’absence de rapport, aucune information ne soit disponible sur les conclusions de l’importante table ronde nationale organisée par l’État partie en août 2017 afin de débattre des futures stratégies pour le bien avec les propriétaires coutumiers, les utilisateurs des terres et les autres parties prenantes.

La pétition qui a été transmise au Centre du patrimoine mondial par les peuples autochtones Tuhunui suscite de graves préoccupations sur les modalités pratiques des droits de propriété, de la gestion et du processus décisionnel coutumiers. Si le conseil des chefs de Rennell Est, son chef suprême, et l’association du site du patrimoine mondial du lac Tegano ont exprimé leur soutien aux processus liés au statut du patrimoine mondial, la lettre des peuples autochtones Tuhunui révèle que des vues opposées existent parmi les communautés locales et les les peuples autochtones. Il devrait être rappelé que ce bien naturel est l’un des rares biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial qui bénéficie d’un système de gouvernance coutumier traditionnel, et il est par conséquent essentiel de veiller à ce que les droits des propriétaires terriens et des utilisateurs des terres coutumiers soient pleinement respectés afin d’assurer la conservation à long terme de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien.

L’une des préoccupations des propriétaires terriens et des utilisateurs des terres coutumiers est que peu d’avantages socioéconomiques concrets ont accompagné le classement de Rennell Est au patrimoine mondial depuis maintenant 20 ans. Le développement de moyens de subsistance pour les communautés locales qui tirent avantage de la conservation du bien est une vraie priorité. Il est par conséquent recommandé que le Comité encourage l’État partie à solliciter un soutien technique et financier pour se saisir de cette question et en appelle à la communauté des donateurs internationaux pour soutenir les efforts à cet égard.

Selon une carte annexée à la pétition, les terres coutumières des peuples autochtones Tuhunui représentent un pourcentage important des terres situées au sein du bien. La pétition indique que les peuples autochtones Tuhunui sont opposés au fait que Rennell Est soit régie par la Loi sur les zones protégées de 2010 – ce qui constituait l’une des mesures proposées par l’État partie pour assurer le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril, et qui apparaît dans le DSOCR tel qu’adopté par le Comité. Il est par conséquent recommandé que le Comité demande à l’État partie d’inviter une mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien afin de comprendre les interactions complexes de droits coutumiers au sein du bien, faciliter le dialogue entre et parmi les différentes parties prenantes et communautés et déterminer comment les préoccupations exprimées par les propriétaires terriens coutumiers peuvent être traitées tout en respectant pleinement le droit à l’autodétermination. La mission donnerait des conseils opportuns à l’État partie s’agissant de mesures possibles qui pourraient être mises en œuvre afin d’atteindre le DSOCR, en concertation étroite avec les propriétaires terriens coutumiers, et prolongerait le développement de moyens de subsistance alternatifs avec des partenaires internationaux et les ministères concernés. La mission devrait également évaluer l’état de conservation actuel du bien et les avancées effectuées pour répondre aux menaces identifiées dans les rapports sur l’état de conservation précédents, y compris les espèces envahissantes, l’exploitation minière de bauxite et l’exploitation forestière.

En l’absence de toute information sur les avancées effectuées vers le DSOCR, il est recommandé que le Comité maintienne le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Décisions adoptées par le Comité en 2018
42 COM 7A.41
Rennell Est (Îles Salomon) (N 854)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7A.Add2,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7A.19, adoptée à sa 41session (Cracovie, 2017),
  3. Regrette que l’État partie n’ait pas soumis le rapport sur l’état de conservation du bien demandé par le Comité ;
  4. Prend note avec la plus grande préoccupation de la lettre adressée au Centre du patrimoine mondial par les peuples autochtones Tuhunui de Rennell Est, qui soulèvent de graves préoccupations sur les modalités pratiques des droits de propriété, de gestion et du processus décisionnel coutumiers, et expriment leur souhait de « retirer toutes leurs terres coutumières du site du programme du patrimoine mondial de Rennell Est» à la lumière du fait que les peuples autochtones ne tirent pas avantage du statut de patrimoine mondial, ainsi que leur opposition au fait que le bien soit régi par la Loi sur les zones protégées de 2010 ;
  5. Considère que la conservation à long terme de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ne peut être assurée qu’avec le plein accord des propriétaires terriens et utilisateurs des terres coutumiers, en respectant pleinement leurs droits ;
  6. Considère également que le développement de moyens de subsistance durables pour les communautés revêt la plus grande importance, demande à l’État partie de solliciter un soutien technique et financier pour se saisir de cette question et en appelle à la communauté des donateurs internationaux pour soutenir les efforts de l’État partie à cet égard ;
  7. Demande également à l’État partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien pour :
    1. faciliter le dialogue entre et parmi les différentes parties prenantes et communautés et déterminer comment les préoccupations exprimées par les propriétaires terriens coutumiers peuvent être traitées tout en respectant pleinement leur droit à l’autodétermination,
    2. donner des conseils à l’État partie s’agissant de mesures possibles qui pourraient être mises en œuvre afin d’atteindre l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), en concertation étroite avec les communautés locales et les propriétaires terriens coutumiers,
    3. évaluer l’état de conservation actuel du bien et les avancées effectuées pour combattre les menaces identifiées dans les rapports sur l’état de conservation précédents, y compris les espèces envahissantes, l’exploitation minière de bauxite et l’exploitation forestière ;
  8. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 43e session en 2019 ;
  9. Décide de maintenir Rennell Est (Îles Salomon) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
42 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/18/42.COM/7A, WHC/18/42.COM/7A.Add et WHC/18/42.COM/7A.Add.2),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 42 COM 7A.1)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 42 COM 7A.2)
  • Autriche, Centre historique de Vienne, (décision 42 COM 7A.5)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 42 COM 7A.8)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 42 COM 7A.9)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 42 COM 7A.46)
  • Égypte, Abou Mena (décision 42 COM 7A.17)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 42 COM 7A.42)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 42 COM 7A.44)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 42 COM 7A.41)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 42 COM 7A.40)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 42 COM 7A.18)
  • Iraq, Hatra (décision 42 COM 7A.19)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 42 COM 7A.20)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 42 COM 7A.21)
  • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 42 COM 7A.25)
  • Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 42 COM 7A.22)
  • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 42 COM 7A.23)
  • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 42 COM 7A.24)
  • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 42 COM 7A.26)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 42 COM 7A.53)
  • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 42 COM 7A.13)
  • Mali, Tombouctou (décision 42 COM 7A.14)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 42 COM 7A.15)
  • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 42 COM 7A.3)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 42 COM 7A.54)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 42 COM 7A.16)
  • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 42 COM 7A.4)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 42 COM 7A.27)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 42 COM 7A.29)
  • Palestine, Vieille ville d’Hébron/Al-Khalil (décision 42 COM 7A.28)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 42 COM 7A.10)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 42 COM 7A.11)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 42 COM 7A.30)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 42 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 42 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 42 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 42 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 42 COM 7A.35)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 42 COM 7A.45)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 42 COM 7A.47)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 42 COM 7A.48)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 42 COM 7A.49)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 42 COM 7A.50)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 42 COM 7A.51)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 42 COM 7A.56)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 42 COM 7A.55)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 42 COM 7A.6)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 42 COM 7A.7)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 42 COM 7A.12)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 42 COM 7A.37)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 42 COM 7A.38)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 42 COM 7A.39)
Projet de décision : 42 COM 7A.41

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7A.Add.2,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7A.19, adoptée à sa 41esession (Cracovie, 2017),
  3. Regrette que l’État partie n’ait pas soumis le rapport sur l’état de conservation du bien demandé par le Comité ;
  4. Prend note avec la plus grande préoccupation de la lettre adressée au Centre du patrimoine mondial par les peuples autochtones Tuhunui de Rennell Est, qui soulèvent de graves préoccupations sur les modalités pratiques des droits de propriété, de gestion et du processus décisionnel coutumiers, et expriment leur souhait de « retirer toutes leurs terres coutumières du site du programme du patrimoine mondial de Rennell Est» à la lumière du fait que les peuples autochtones ne tirent pas avantage du statut de patrimoine mondial, ainsi que leur opposition au fait que le bien soit régi par la Loi sur les zones protégées de 2010 ;
  5. Considère que la conservation à long terme de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ne peut être assurée qu’avec le plein accord des propriétaires terriens et utilisateurs des terres coutumiers, en respectant pleinement leurs droits ;
  6. Considère également que le développement de moyens de subsistance durables pour les communautés revêt la plus grande importance, demande à l’État partie de solliciter un soutien technique et financier pour se saisir de cette question et en appelle à la communauté des donateurs internationaux pour soutenir les efforts de l’État partie à cet égard ;
  7. Demande également à l’État partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien pour :
    1. faciliter le dialogue entre et parmi les différentes parties prenantes et communautés et déterminer comment les préoccupations exprimées par les propriétaires terriens coutumiers peuvent être traitées tout en respectant pleinement leur droit à l’autodétermination,
    2. donner des conseils à l’État partie s’agissant de mesures possibles qui pourraient être mises en œuvre afin d’atteindre l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), en concertation étroite avec les communautés locales et les propriétaires terriens coutumiers,
    3. évaluer l’état de conservation actuel du bien et les avancées effectuées pour combattre les menaces identifiées dans les rapports sur l’état de conservation précédents, y compris les espèces envahissantes, l’exploitation minière de bauxite et l’exploitation forestière ;
  8. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 43e session en 2019 ;
  9. Décide de maintenir Rennell Est (Îles Salomon) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2018
Îles Salomon
Date d'inscription : 1998
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)
Liste en péril (dates) : 2013-présent
Documents examinés par le Comité
arrow_circle_right 42COM (2018)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


top