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Rennell Est

Îles Salomon
Facteurs affectant le bien en 2014*
  • Cadre juridique
  • Chasse commerciale
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Exploitation minière
  • Modification des eaux de l’océan
  • Pêche/collecte de ressources aquatiques
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Tempêtes
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Exploitation minière 
  • Pêche commerciale (problème résolu) 
  • Exploitation forestière 
  • Espèces envahissantes 
  • Exploitation excessive du crabe de cocotier et d’autres ressources marines 
  • Législation, gestion prévisionnelle et administration du bien
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Extraction forestière 
  • Espèces envahissantes 
  • Surexploitation du crabe de cocotier et d’autres ressources marines 
  • Changement climatique 
  • Législation, gestion prévisionnelle et administration du bien 
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

En cours de rédaction

Mesures correctives pour le bien

En cours de rédaction

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Pas encore identifié
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2014
Demandes approuvées : 2 (de 2006-2012)
Montant total approuvé : 56 335 dollars E.U.
2012 Survey of the Condition of the Marine Ecosystem within ... (Approuvé)   29 985 dollars E.U.
2006 Exchange visit between East Rennell and Tetepare Island ... (Approuvé)   26 350 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2014**

Octobre 2012 : mission de suivi réactif UICN ; mars-avril 2005 : mission de suivi UNESCO/UICN 

 

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2014

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 1er février 2014, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/854/documents/, incluant un rapport de terrain d’un projet d’évaluation de l’état de conservation du bien daté de janvier 2014. L’État partie indique les éléments suivants :

  • Les exploitations forestières sont soumises à autorisation en vertu de la loi sur l’environnement de 1998 et doivent être conformes au Code national de l’exploitation forestière. Il est admis que les exploitations forestières à Rennell Ouest pourraient constituer une menace sérieuse pour la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien en raison du besoin absolu de conserver l’intégrité de la forêt dans toute l’île. Il existe quatre baux forestiers sur Rennell Ouest, et un bail supplémentaire est prévu. 
  • La présence du rat noir (rattus rattus) est confirmée sur Rennell, où elle constitue une menace importante pour l’avifaune endémique et les escargots terrestres de Rennell Ouest, et par conséquent sur la VUE du bien.
  • Il est fort probable que l’escargot terrestre géant d’Afrique, qui s’est installé dans le port d’Honiara, soit bientôt repéré sur Rennell en raison du manque de mesures de biosécurité. L’État partie indique son intention de demander soutien auprès du Secrétariat du programme environnemental régional du Pacifique (SPREP), mais note qu’il sera important d’impliquer la communauté et que cela nécessitera financement et soutien technique.
  • Des efforts continus sont menés pour donner aux communautés des pratiques de gestion améliorées visant à répondre à la surexploitation du crabe de cocotier et d’autres ressources marines. Ces pratiques sont prises en compte dans un plan de gestion révisé du bien, actuellement en cours d’élaboration.
  • L’élévation du niveau des mers entraînée par le changement climatique affecte le lac insulaire Tegano : inondations et engorgement des bords du lac, salinité accrue, approvisionnement en eau douce réduit et pénurie alimentaire. Le département du changement climatique du ministère de l’Environnement œuvrera avec le gouvernement provincial sur l’adaptation au changement climatique et les méthodes d’atténuation.
  • L’État partie reconnaît que le bien devrait être considéré à l’aune de la loi sur les aires protégées de 2010, mais cela doit être soumis au consentement des propriétaires terriens coutumiers. Une campagne de sensibilisation et de promotion de cette loi est en cours auprès de la communauté. 
  • Aucune information n’est fournie concernant les améliorations nécessaires de l’administration du bien.
  • Il est prévu de commencer l’exploitation minière de la bauxite à Rennell Ouest durant l’année 2014.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2014

Des progrès ont été effectués pour répondre aux recommandations du Comité et à la mission de suivi réactif de 2012 menée par l’UICN. Cependant, les exploitations forestières existantes et potentiellement nouvelles sur Rennell Ouest ainsi que l’introduction avérée de rats présentent des menaces sérieuses pour l’intégrité du bien. L’introduction vraisemblable de l’escargot terrestre géant d’Afrique sur Rennell, en l’absence de mesures de biosécurité, demeure hautement préoccupante dans la mesure où il est presque impossible d’éradiquer cette espèce une fois qu’elle est installée. La lutte contre l’invasion des rats et des escargots nécessitera la mise en place d’une expertise technique conjuguée à un soutien financier pour contribuer à l’implication nécessaire de la communauté locale.

Les informations concernant le démarrage prévu d’une exploitation minière de bauxite à Rennell Ouest en 2014 sont un motif de très grande préoccupation. Bien que l’ensemble de la zone soit réduit, les sites d’exploitation minière sont dispersés sur une large étendue. Les impacts potentiels sur le bien sont similaires à ceux de l’exploitation forestière : déforestation, destruction de l’habitat de la faune sauvage, introduction d’espèces exotiques favorisée par les barges utilisant des bassins d’exploitation forestière en tant que points d’accès, et introduction de terre sous forme de remblais remplaçant la matière extraite. Le Comité du patrimoine mondial pourrait demander à l’État partie de ne pas autoriser l’exploitation minière de bauxite sur Rennell s’il n’était pas démontré que de telles activités ne portent nullement atteinte à la VUE du bien.

Alors que la législation en vigueur sur les zones protégées vise à protéger le bien de l’exploitation forestière, les communautés locales doit décider de demander son application au bien. Par conséquent, il est recommandé que  le Comité encourage l’État partie à continuer d’étayer le soutien aux mesures de sensibilisation par la mise en place de financements supplémentaires et d’expertise afin de renforcer la protection du bien. En même temps, le gouvernement provincial devrait accorder la priorité à la finalisation de l’ordonnance provinciale préparée en 2009 et chercher une assistance technique supplémentaire autant que de besoin. Il est recommandé que le Comité demande aussi à l’État partie de mettre en place immédiatement des mesures provisoires d’atténuation des impacts des exploitations forestières existantes, d’empêcher toute nouvelle exploitation forestière, et de surseoir à l’examen des demandes de licence d’exploitation minière de bauxite jusqu’à ce qu’un nouveau plan de gestion soit approuvé et mis en œuvre.

Notant l’élaboration d’un nouveau plan de gestion, incluant des pratiques de gestion améliorées visant à répondre à la surexploitation du crabe de cocotier et d’autres ressources marines, il est recommandé que le Comité prie instamment l’État partie de finaliser le nouveau plan de gestion et de le soumettre au Centre du patrimoine mondial et à l’UICN pour examen. Le souhait de l’État partie quant à une approche inter-agences et intergouvernementale du changement climatique en matière d’adaptation et d’atténuation est également noté.

On peut estimer que l’évaluation des menaces entreprise avec le soutien du gouvernement australien et jointe au rapport de l’État partie pourrait fonder le développement de mesures correctives et d’un État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril. L’aboutissement de la mise en œuvre de ces mesures demandera du temps, des ressources supplémentaires et le soutien plein et entier de tous les niveaux gouvernementaux, de la communauté locale et d’autres parties prenantes de la communauté internationale. L’UICN, avec son Bureau régional pour l’Océanie (ORO), est en mesure de donner de plus amples conseils techniques à l’État partie le cas échéant.

Décisions adoptées par le Comité en 2014
38 COM 7A.29
Rennell Est (Iles Salomon) (N 854)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 37 COM 7B.14, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),
  3. Note avec appréciation que des progrès ont été accomplis s’agissant de la mise en œuvre des recommandations du Comité et de la mission de suivi réactif de l’UICN de 2012 ;
  4. Accueille favorablement l’évaluation des menaces sur le bien entreprise avec le soutien du gouvernement australien, et considère que les conclusions et les recommandations de cette évaluation pourraient servir de base à l’État partie pour élaborer, en concertation avec le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, une proposition d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril, ainsi qu’un ensemble de mesures correctives ;
  5. Note avec préoccupation les projets annoncés selon lesquels l’exploitation minière de bauxite à Rennell Ouest commencerait en 2014, ce qui aurait probablement les mêmes impacts sur la Valeur universelle exceptionnelle du bien que l’exploitation forestière, et demande à l’État partie de mener des évaluations d’impact environnemental rigoureuses de ces projets visant à démontrer qu’ils n’auront pas d’impact sur le bien, conformément à la Note de conseil de l’UICN pour les évaluations d’impact environnemental appliquées au patrimoine mondial ;
  6. Demande également à l’État partie de mettre en place de toute urgence des mesures provisoires d’atténuation des impacts des exploitations forestières existantes, d’empêcher toute nouvelle exploitation forestière, et de surseoir à l’examen des demandes de licence d’exploitation minière de bauxite jusqu’à ce qu’un nouveau plan de gestion soit approuvé et mis en œuvre ;
  7. Demande en outre à l’État partie d’entreprendre une action urgente pour enrayer la poursuite de la propagation des rats sur l’île de Rennell et les empêcher de s’introduire au sein du bien, de mettre en place les contrôles de biosécurité nécessaires pour empêcher toute nouvelle introduction d’espèce invasive sur l’île, et réitère son invitation à l’État partie de soumettre une demande d’assistance internationale pour soutenir cette tâche ;
  8. Reconnaît l’inquiétude de l’État partie concernant l’élévation du niveau des mers entraînée par le changement climatique et affectant le lac insulaire Tegano, et note que la Division du changement climatique du ministère de l’Environnement travaillera avec le gouvernement provincial sur les méthodes d’adaptation et d’atténuation du changement climatique pour répondre à ces préoccupations ;
  9. Note également que l’État partie reconnaît que la loi sur les espaces protégés des îles Salomon de l’est (2010) devrait s’appliquer au bien ;
  10. Prie instamment l’État partie d’accélérer la finalisation et la mise en œuvre du plan de gestion révisé du bien, et demande par ailleurs à l’État partie de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du projet de plan de gestion révisé pour examen par le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, incluant un résumé exécutif d’une page, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;
  12. Décide de maintenir Rennell Est (Iles Salomon) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
38 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (sites maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-14/38.COM/7A et WHC-14/38.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 38 COM 7A.14)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 38 COM 7A.15)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 38 COM 7A.31)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 38 COM 7A.21)
  • Colombie, Parc national de Los Katíos (décision 38 COM 7A.32)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 38 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 38 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 38 COM 7A.1)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 38 COM 7A.30)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 38 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 38 COM 7A.16)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 38 COM 7A.17)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 38 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 38 COM 7A.29)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 38 COM 7A.28)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 38 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 38 COM 7A.3)
  • Jérusalem, Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (décision 38 COM 7A.4)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 38 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 38 COM 7A.24)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 38 COM 7A.25)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 38 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 38 COM 7A.5)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 38 COM 7A.20)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 38 COM 7A.22)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 38 COM 7A.12)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 38 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 38 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 38 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 38 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 38 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 38 COM 7A.41)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 38 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 38 COM 7A.18)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 38 COM 7A.26)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 38 COM 7A.19)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 38 COM 7A.23)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 38 COM 7A.13)
Projet de décision :   38 COM 7A.29

Le Comité du patrimoine mondial,

1.  Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A,

2.  Rappelant la décision 37 COM 7B.14, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),

3.  Note avec appréciation que des progrès ont été accomplis s’agissant de la mise en œuvre des recommandations du Comité et de la mission de suivi réactif de l’UICN de 2012 ;

4.  Accueille favorablement l’évaluation des menaces sur le bien entreprise avec le soutien du gouvernement australien, et considère que les conclusions et les recommandations de cette évaluation pourraient fonder l’État partie à élaborer, en concertation avec le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, une proposition d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril, ainsi qu’un ensemble de mesures correctives ;

5.  Note avec préoccupation les projets annoncés selon lesquels l’exploitation minière de bauxite à Rennell Ouest commencerait en 2014, ce qui aurait probablement les mêmes impacts sur la Valeur universelle exceptionnelle du bien que l’exploitation forestière, et demande à l’État partie de mener des évaluations d’impact environnemental rigoureuses de ces projets visant à démontrer qu’ils n’auront pas d’impact sur le bien, conformément à la Note de conseil de l’UICN pour les évaluations d’impact environnemental appliquées au patrimoine mondial ;

6.  Demande également à l’État partie de mettre en place de toute urgence des mesures provisoires d’atténuation des impacts des exploitations forestières existantes, d’empêcher toute nouvelle exploitation forestière, et de surseoir à l’examen des demandes de licence d’exploitation minière de bauxite jusqu’à ce qu’un nouveau plan de gestion soit approuvé et mis en œuvre ;  

7.  Demande en outre à l’État partie d’entreprendre une action urgente pour enrayer la poursuite de la propagation des rats sur Rennell et les empêcher de s’introduire au sein du bien, de mettre en place les contrôles de biosécurité nécessaires pour empêcher toute nouvelle introduction d’espèce invasive sur l’île, et réitère son invitation à l’État partie de faire une demande d’assistance internationale pour soutenir cette tâche ;

8.  Prie instamment l’État partie d’accélérer la finalisation et la mise en œuvre du plan de gestion révisé du bien, et demande par ailleurs à l’État partie de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du plan de gestion révisé pour examen par le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ;

9.  Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, incluant un résumé exécutif d’une page, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;

10.  Décide de maintenir Rennell Est (Iles Salomon) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Année du rapport : 2014
Îles Salomon
Date d'inscription : 1998
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)
Liste en péril (dates) : 2013-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2014) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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