Églises baroques des Philippines
Facteurs affectant le bien en 2000*
- Eau (pluie/nappe phréatique)
- Habitat
- Utilisations et associations rituelles/spirituelles/religieuses
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Projet de plan de construction d'un ossuaire afin de remplacer l'inhumation initiale de 159 corps
- Nécessité d'une solution à long terme pour contrôler le flux d’eaux pluviales
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2000
Montant total approuvé : 27 000 dollars E.U.
| 1998 | On-site promotion for the Baroque Churches of the ... (Approuvé) | 5 000 dollars E.U. |
| 1997 | Training to enhance the management of the Baroque ... (Approuvé) | 22 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 2000**
juillet 1998: mission d'expert de l'ICOMOS; juillet 2000: mission de suivi réactif de l’ICOMOS
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2000
En juillet 2000, le Centre du patrimoine mondial a reçu une correspondance des propriétaires de l’Eglise Saint-Augustin de Manille, accompagnée d’informations complémentaires de la Commission nationale des Philippines pour l’UNESCO et de la Délégation permanente des Philippines auprès de l’UNESCO concernant la réapparition de projets de construction d’un nouveau bâtiment au milieu des bâtiments existants, afin de faire face aux besoins créés par l’extension de la congrégation, en particulier pour agrandir la résidence des prêtres. Dans une lettre adressée au Secrétariat, les propriétaires de l’église Saint-Augustin ont laissé entendre qu’ils pourraient envisager de se faire radier de la liste du site si le statut de Patrimoine mondial impose des contraintes sur l’utilisation du site. Le Centre du patrimoine mondial a demandé en septembre à l’ICOMOS d’entreprendre une mission de suivi réactif pour étudier l’impact négatif potentiel que le nouveau bâtiment pourrait avoir sur l’intégrité et l’authenticité du site.
A la suite d’une demande d’assistance internationale pour des travaux de restauration de l’église Saint-Augustin de Paoay, une mission de suivi réactif de l’ICOMOS a été organisée en juillet 2000 à la demande du Centre du patrimoine mondial. Les conclusions et recommandations de cette mission seront communiquées lors de la session du Bureau.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2000
24 COM VIII.iii.35-43
Rapports sur l’état de conservation de biens culturels dont le Comité a pris note
VIII.35 Brasilia (Brésil)
Site de l'Homme de Pékin à Zhoukoudian (Chine)
Palais du Potala, Lhasa (Chine)
VIII.36 Le Caire islamique (Egypte)
VIII.37 Trèves, monuments romains, cathédrale et église Notre-Dame (Allemagne)
Châteaux et parcs de Potsdam et Berlin (Allemagne)
Weimar classique (Allemagne)
Parc national de l'Hortobagy (Hongrie)
VIII.38 Ensemble monumental de Khajuraho (Inde)
Temple du soleil à Konarak (Inde)
Petra (Jordanie)
Luang Prabang (République démocratique populaire lao)
Byblos (Liban)
Ksar Aït Ben Haddou (Maroc)
VIII.39 Ile de Mozambique (Mozambique)
Lumbini, lieu de naissance du Bouddha (Népal)
Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo-San Lorenzo (Panama)
Site archéologique de Chavin (Pérou)
VIII.40 Rizières en terrasses des cordillères des Philippines (Philippines)
VIII.41 Eglises baroques des Philippines (Philippines)
VIII.42 Paysage culturel de Sintra ( Portugal)
VIII.43 Istanbul (Turquie)
Ensemble de monuments de Huê (Viet Nam)
Le Bureau pourrait souhaiter étudier les informations supplémentaires fournies par le Secrétariat et l’ICOMOS au moment de la session et prendre une décision en conséquence.
PhilippinesExports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.
