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Zones archéologiques de Pompéi, Herculanum et Torre Annunziata

Italie
Facteurs affectant le bien en 2019*
  • Déchets solides
  • Habitat
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Ressources financières
  • Ressources humaines
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Série d'effondrements de structures au sein du bien (problème résolu)
  • Restauration et entretien inadéquats, insuffisance de compétences (problème résolu)
  • Projets de construction à proximité du bien 
  • Système de gestion 
  • Financement inadapté
  • Systèmes de drainage inefficaces 
  • Pression touristique
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2019

Montant total accordé : 183 487 dollars EU : Fond-en-dépôt italien

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2019
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2019**

Décembre 2010 et janvier 2011 : Mission conjointe de conseil Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; janvier 2013 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; novembre 2014 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2019

Le 30 novembre 2018, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation, qui est disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/829/documents/, et présente comme suit les progrès réalisés dans le traitement des problèmes de conservation précédemment abordés par le Comité :

  • Sur la base du projet de Déclaration rétrospective de valeur universelle exceptionnelle (VUE), des valeurs, certaines communes à tous les sites et d’autres propres à chacun d’entre eux, ont été identifiées pour tout le bien en série ;
  • Des progrès sont notés à Pompéi et Herculanum en ce qui concerne les interventions destinées à stabiliser et restaurer les structures et les surfaces décoratives. Il en va de même s’agissant d’autres actions (y compris celles liées aux outils de gestion, aux systèmes de gestion des connaissances, à l’accès des visiteurs et aux services proposés) ;
  • Le parc archéologique d’Herculanum a été établi en tant qu’organisation autonome (il était précédemment géré avec d’autres sites archéologiques vésuviens par l’ex-surintendance archéologique de Pompéi, devenue désormais le parc archéologique de Pompéi– PAP) ; et un protocole d’accord sera signé avec le PAP, celui-ci étant également responsable de Torre Annunziata. Des protocoles d’accord ont été signés entre les organismes en charge de la gestion des sites et les municipalités du territoire environnant (y compris de la zone tampon telle que proposée) ;
  • L’unité grand Pompéi (UGP), créée en tant qu’organe temporaire de renforcement du site de Pompéi dans le cadre du Grand projet Pompéi, entre dans sa phase finale sur le territoire du bien et transfère ses responsabilités en matière de conservation et de gestion au PAP, institution établie pour œuvrer sur le long terme. L’UGP est désormais responsable des questions relatives au tourisme et au réaménagement économique et urbain, y compris pour la zone d’extension proposée comme future zone tampon ;
  • S’agissant des ressources humaines permanentes et temporaires et des ressources financières, des chiffres sont présentés qui reflètent les budgets des deux organismes de gestion au cours des dernières années ;
  • L’élaboration et la mise en œuvre d’un plan d’intervention et d’entretien à long terme et d’un système pour la conservation et la restauration de Pompéi et d’Herculanum ont progressé, en particulier à Herculanum où des cycles triennaux d’entretien courant et de réparations périodiques sont mis en place ;
  • Le contentieux administratif en cours avec la société qui réalisait des travaux sur le bâtiment de stockage prévu à Porta Nola, à Pompéi, reste à régler. Les plans pour achever le bâtiment prévoient la conception d’une structure partiellement souterraine ;
  • A Pompéi, les travaux de stabilisation hydrogéologique (destinés à consolider les fronts d’excavation des sites de fouille) adjacents aux régions III et IX ont été achevés. Les mesures d’atténuation pour les risques hydrogéologiques dans les régions I, III, IX, IV et V sont en cours (leur fin est prévue en mars 2020). Les travaux destinés à consolider et à transformer les abords du site prévoient la fouille de nouvelles maisons ;
  • Les plans d’un nouveau centre d’accueil des visiteurs à Torre Annunziata, pour la villa A, ont été conçus et les travaux de construction ont commencé en décembre 2018. Le centre d’accueil des visiteurs sera complété d’un musée situé dans un ancien bâtiment d’usine, près du site.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2019

L’identification de valeurs, communes à tout le bien et propres à chaque site, pour toutes les composantes du bien est accueillie avec satisfaction. Toutefois, pour Torre Annunziata, les valeurs identifiées n’ont pas été intégrées dans la gestion du site. L’État partie devrait être encouragé à définir un ensemble détaillé d’attributs pour chaque composante du bien afin d’être certain que les objectifs et la prise de décision en matière de planification, de mise en œuvre et de suivi des activités sont guidés par la conservation et la gestion de ces attributs matériels et immatériels qui confèrent au bien ses valeurs culturelles et leur interdépendance avec le cadre général. Les actualisations à venir du plan de gestion devraient exposer de façon synthétique de quelle façon le système de gestion obtient de meilleurs résultats en la matière, ainsi que dans le contexte de plans d’action à court/moyen terme. Cependant, si le plan de gestion n’est pas utilisé comme instrument de gestion stratégique, il pourrait alors s’avérer plus utile de documenter le système de gestion (paragraphe 108 des Orientations), ce qui rendrait plus transparents les mécanismes de prise de décision.

Les informations sur les deux organismes autonomes de gestion des sites, leur collaboration potentielle et leur coopération avec l’UGP et les municipalités concernées, sont accueillies avec satisfaction. Il en va de même pour le plan stratégique de l’UGP. Il conviendrait de clarifier si les mandats institutionnels ou légaux prévoient des plateformes de coordination régulière entre les directeurs des organismes et les autres acteurs, pour la gestion à long terme du vaste cadre territorial de ce bien en série. Des éclaircissements complémentaires sont nécessaires quant aux rôles de l’UGP et du PAP alors que le Grand projet Pompéi arrive à son terme. Le plan de gestion actualisé devrait inclure la structure de gestion opérationnelle et les responsabilités clairement définies et attribuées pour sa mise en œuvre.

Des progrès conséquents ont été réalisés afin de mettre en place sur le long terme des ressources humaines adéquates pour les deux organismes en charge de la gestion des sites. Il convient de noter que le seul budget annuel permanent du bien est basé sur la billetterie, tous les autres revenus relevant de projets particuliers.

Les progrès significatifs accomplis pour stabiliser et améliorer l’état des structures et des surfaces décoratives dans les trois composantes du bien sont accueillis avec satisfaction. Des informations font toutefois défaut sur l’état des 13 bâtiments de Pompéi identifiés comme en péril lors de la mission de suivi réactif de 2013. Le programme des travaux d’intervention et d’entretien semble être désormais basé sur un suivi continu et la mise en œuvre périodique et récurrente des actions nécessaires. On ne saurait toutefois dire si le système décrit dans le rapport est déjà pleinement opérationnel. Les efforts déployés par l’État partie pour perfectionner le suivi, le système de gestion des connaissances, la sécurité du site, l’accès des visiteurs et les services proposés, ont produit des améliorations substantielles pour le bien.

Les plans du principal bâtiment de stockage à Porta Nola devraient être soumis dès que possible à l’examen du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives.

À Pompéi, les travaux de stabilisation hydrogéologique et les mesures d’atténuation des risques hydrogéologiques sont partiellement achevés. Il est recommandé qu’après leur achèvement, un rapport distinct soit transmis au Centre du patrimoine mondial et aux Organisations consultatives. Les fouilles entreprises à cette occasion ont révélé de nouveaux et importants vestiges archéologiques. Leur conservation et l’approche envisagée pour leur protection à long terme, y compris les ressources consacrées, devraient être abordées dans le prochain rapport sur l’état de conservation.

Bien que le rapport de l’État partie présente une synthèse des plans du centre d’accueil des visiteurs à Torre Annunziata, la documentation complète n’a pas été soumise au Centre du patrimoine mondial comme demandé par la dernière décision du Comité. Le Centre du patrimoine mondial a demandé à l’État partie de soumettre l’ensemble des documents de conception à l’examen du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives, et d’interrompre, dans l’entretemps, les travaux déjà en cours. En outre, le Centre du patrimoine mondial a demandé à être tenu informé, régulièrement et en temps voulu, de tout projet envisagé, conformément au paragraphe 172 des Orientations, aucune information sur le bien n’ayant été reçue depuis la dernière décision.

Une demande de modification mineure des limites, avec une proposition de changement à apporter à la zone tampon, est toujours en suspens. Depuis la nouvelle soumission incomplète en 2016, l’État partie n’a pas soumis de nouvelle demande. Compte tenu des défauts observés dans les zones tampons existantes des composantes, des progrès dans ce domaine sont une priorité absolue.

Il conviendrait de noter avec satisfaction que, parmi les facteurs affectant le bien, les problèmes liés au système de gestion, au financement inadapté et au système de drainage inefficace sont partiellement résolus.

Décisions adoptées par le Comité en 2019
43 COM 7B.85
Zones archéologiques de Pompéi, Herculanum et Torre Annunziata (Italie) (C 829)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7B.47, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017),
  3. Félicite l’État partie pour les efforts déployés afin d’améliorer le système de conservation et de gestion, qui ont conduit à la stabilisation et à un meilleur état de conservation des structures et des surfaces décoratives du bien, et accueille avec satisfaction les améliorations apportées au suivi et au système de gestion des connaissances du bien, et les efforts entrepris par l’État partie pour mettre à niveau l’accès des visiteurs et les infrastructures qui leur sont destinées ;
  4. Encourage l’État partie à envisager de documenter son système de gestion, ou d’actualiser le plan de gestion en précisant :
    1. L’ensemble des attributs qui confèrent au bien sa valeur universelle exceptionnelle (VUE) et ses autres valeurs, en les intégrant aux objectifs et initiatives de gestion,
    2. La structure organisationnelle et de gestion mise en place pour le bien et sa zone tampon,
    3. Les rôles et responsabilités des différents acteurs associés à la gestion du bien, en faisant état notamment de la participation de toutes les parties prenantes concernées,
    4. Le système amélioré de suivi et d’interventions/d’entretien ;
  5. Encourage également l’État partie à veiller à ce que des ressources humaines et financières adaptées soient garanties pour la conservation à long terme du bien et la gestion des visiteurs ;
  6. Accueille également avec satisfaction les progrès supplémentaires mentionnés en ce qui concerne les travaux de stabilisation hydrogéologique et les mesures d’atténuation des risques hydrogéologiques, et demande à l’État partie de transmettre un rapport, une fois les travaux achevés, au Centre du patrimoine mondial et aux Organisations consultatives ;
  7. Demande également que lui soient communiquées des informations complémentaires sur l’état de conservation du patrimoine archéologique, en particulier des 13 bâtiments identifiés comme étant en péril lors de la mission de suivi réactif de 2013, ainsi que sur les plans conçus pour assurer la conservation et l’entretien des nouveaux vestiges archéologiques qui sont actuellement mis au jour dans le cadre du Projet grand Pompéi ;
  8. Notant les efforts déployés par l’État partie pour régler le contentieux administratif en cours à Porta Nola, demande en outre à l’État partie de communiquer dès que possible les plans du principal bâtiment de stockage, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  9. Prend note de la synthèse des plans du centre d’accueil des visiteurs à Torre Annunziata, mais demande par ailleurs à l’État partie de soumettre l’ensemble des documents de conception pour l’examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, et d’interrompre les travaux pendant que ces documents sont examinés ; souligne, en outre, la nécessité de soumettre en temps voulu les projets envisagés au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  10. Rappelle à l’État partie que, suite à la décision 38 COM 8B.51, il doit soumettre à nouveau la proposition de nouvelle zone tampon au Centre du patrimoine mondial, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, dès que possible et de toute urgence ;
Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
43 COM 8E
Adoption des Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les documents WHC/19/43.COM/8E et WHC/19/43.COM/8E.Add,
  2. Félicite les États parties pour l’excellent travail accompli dans l’élaboration des Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle pour les biens du patrimoine mondial dans leurs territoires ;
  3. Adopte les Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle, telles que présentées dans l’Annexe des documents WHC/19/43.COM/8E et WHC/19/43.COM/8E.Add, pour les biens du patrimoine mondial suivants :

    ASIE ET PACIFIQUE

    • Inde, Églises et couvents de Goa
    • Inde, Ensemble de monuments de Mahabalipuram
    • Inde, Ensemble monumental de Khajuraho
    • Inde, Fatehpur Sikri
    • Inde, Grottes d'Ellora
    • Inde, Parc archéologique de Champaner-Pavagadh

    EUROPE ET AMÉRIQUE DU NORD

    • Canada, Parcs des montagnes Rocheuses canadiennes
    • Croatie, Parc national Plitvice
    • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades
    • États-Unis d'Amérique, Parc national des grottes de Carlsbad
    • États-Unis d'Amérique, Parc national du Grand Canyon
    • États-Unis d'Amérique, Parcs d'État et national Redwood
    • France, Canal du Midi
    • France, Cathédrale Notre-Dame, ancienne abbaye Saint-Rémi et palais du Tau, Reims
    • France, Provins, ville de foire médiévale
    • France, Basilique et colline de Vézelay
    • Italie, Assise, la Basilique de San Francesco et autres sites franciscains
    • Italie, Centre historique d’Urbino
    • Italie, Vallée de l'Orcia
    • Italie, Zones archéologiques de Pompéi, Herculanum et Torre Annunziata ;
  4. Décide que les Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril seront examinées par les Organisations consultatives en priorité ;
  5. Demande au Centre du patrimoine mondial de publier les versions dans les deux langues sur son site internet.
Projet de décision : 43 COM 7B.85

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7B.47, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017),
  3. Félicite l’État partie pour les efforts déployés afin d’améliorer le système de conservation et de gestion, qui ont conduit à la stabilisation et à un meilleur état de conservation des structures et des surfaces décoratives du bien, et accueille avec satisfaction les améliorations apportées au suivi et au système de gestion des connaissances du bien, et les efforts entrepris par l’État partie pour mettre à niveau l’accès des visiteurs et les infrastructures qui leur sont destinées ;
  4. Encourage l’État partie à envisager de documenter son système de gestion, ou d’actualiser le plan de gestion en précisant :
    1. L’ensemble des attributs qui confèrent au bien sa valeur universelle exceptionnelle (VUE) et ses autres valeurs, en les intégrant aux objectifs et initiatives de gestion,
    2. La structure organisationnelle et de gestion mise en place pour le bien et sa zone tampon,
    3. Les rôles et responsabilités des différents acteurs associés à la gestion du bien, en faisant état notamment de la participation de toutes les parties prenantes concernées,
    4. Le système amélioré de suivi et d’interventions/d’entretien ;
  5. Encourage également l’État partie à veiller à ce que des ressources humaines et financières adaptées soient garanties pour la conservation à long terme du bien et la gestion des visiteurs ;
  6. Accueille également avec satisfaction les progrès supplémentaires mentionnés en ce qui concerne les travaux de stabilisation hydrogéologique et les mesures d’atténuation des risques hydrogéologiques, et demande à l’État partie de transmettre un rapport, une fois les travaux achevés, au Centre du patrimoine mondial et aux Organisations consultatives ;
  7. Demande également que lui soient communiquées des informations complémentaires sur l’état de conservation du patrimoine archéologique, en particulier des 13 bâtiments identifiés comme étant en péril lors de la mission de suivi réactif de 2013, ainsi que sur les plans conçus pour assurer la conservation et l’entretien des nouveau vestiges archéologiques qui sont actuellement mis au jour dans le cadre du Projet grand Pompéi ;
  8. Notant les efforts déployés par l’État partie pour régler le contentieux administratif en cours à Porta Nola, demande en outre à l’État partie de communiquer dès que possible les plans du principal bâtiment de stockage, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  9. Prend note de la synthèse des plans du centre d’accueil des visiteurs à Torre Annunziata, mais demande par ailleurs à l’État partie de soumettre l’ensemble des documents de conception pour l’examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, et d’interrompre les travaux pendant que ces documents sont examinés ; souligne, en outre, la nécessité de soumettre en temps voulu les projets envisagés au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  10. Rappelle à l’État partie que, suite à la décision 38 COM 8B.51, il doit soumettre à nouveau la proposition de nouvelle zone tampon au Centre du patrimoine mondial, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, dès que possible et de toute urgence ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
Année du rapport : 2019
Italie
Date d'inscription : 1997
Catégorie : Culturel
Critères : (iii)(iv)(v)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2018) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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