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Parc Maloti-Drakensberg

Afrique du Sud, Lesotho
Facteurs affectant le bien en 2019*
  • Activités de gestion
  • Cadre juridique
  • Installations d’interprétation pour les visiteurs
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Installations d’interprétation pour les visiteurs : Nécessité d'améliorer la présentation des aspects culturels, en particulier les sites de l'art rupestre San dans le Centre Environnemental
  • Cadre juridique : Révisions, amendements et application de lois pertinentes du bien pas encore finalisés au Lesotho
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs (projet de téléphérique)
  • Activités de gestion : Poursuite d'une approche prudente aux interventions de conservation sur les sites d'art rupestre (sauf si l'art rupestre devenait extrêmement fragile et vulnérable) ;
  • Système de gestion/plan de gestion : Nécessité de renforcer la gestion du patrimoine au Lesotho, y compris l'adoption d'un plan de gestion global, l'allocation d’un budget annuel, une préparation aux risques et un plan de réponse en cas de catastrophe, avec des indicateurs de suivi et une formation du personnel de surveillance, et nécessité de renforcer la collaboration transnationale 
  • Zones tampons entourant le bien ne sont pas encore officialisées 
  • Nécessité de poursuivre les recherches et la documentation pour établir un inventaire de l'art rupestre dans le Parc National Sehlabathebe (problème résolu);
  • Nécessité d’étudier la potentielle contribution culturelle d’autres éléments du paysage aux valeurs culturelles du Parc National Sehlabathebe (problème résolu)
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables : Proposition de développement de fermes éoliennes dans les régions limitrophes du Parc National Sehlabathebe (problème résolu)
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2019

Montant total accordé : en 2015, le bien a reçu une dotation de 50.000 dollars EU dans le cadre du Programme sur le Patrimoine mondial et le tourisme durable de l’UNESCO (Fonds-en-dépôt des Flandres) ; en 2016-2017, 40 000 dollars EU pour un projet de gestion communautaire COMPACT (Fonds en dépôt des Pays-Bas)

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2019
Demandes approuvées : 2 (de 2014-2018)
Montant total approuvé : 34 792 dollars E.U.
2018 Strengthening Sehlabathebe community conservation forum ... (Approuvé)   14 056 dollars E.U.
2014 Documentation of Rock Art at Sehlabathebe National Park ... (Approuvé)   20 736 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2019**
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2019

Le 4 décembre 2018, les États parties ont soumis un rapport conjoint sur l’état de conservation du bien, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/985/documents/. Plusieurs documents relatifs à la gestion du bien sont annexés au rapport, certains d’entre eux ayant déjà été soumis avec le rapport sur l’état de conservation de 2016 :

  • Plan de gestion des espèces exotiques et envahissantes ;
  • Plan de gestion conjoint des incendies ;
  • Stratégie de tourisme durable ;
  • Plan de gestion conjoint du patrimoine culturel ;
  • Plan de gestion du patrimoine culturel pour le parc national de Sehlabathebe ;
  • Etude sur l’art rupestre et archéologique de référence du parc national de Sehlabathebe ;

En réponse à la décision du Comité, les États parties font état de ce qui suit :

  • Le plan de gestion conjoint du bien est en cours d’examen pour aligner les différents documents de gestion ;
  • La proposition d’actualisation de la Déclaration de valeur universelle exceptionnelle (VUE) intégrant les conclusions des études sur l’art rupestre et l’archéologie est annexée au rapport ;
  • Les consultations et la définition des limites de la zone tampon en Afrique du Sud, au sud du parc national de Sehlabathebe (PNS), sont achevées, et une demande de modification mineure des limites sera soumise ultérieurement ;
  • Le Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022 (joint au rapport) a été élaboré pour le PNS, et le moratoire sur les interventions de conservation non urgentes se poursuit ;
  • Le personnel a bénéficié de différents programmes de formation ;
  • L’évaluation d’impact environnemental (EIE) et l’évaluation d’impact sur le patrimoine (EIP) pour le projet de téléphérique en Afrique du Sud n’ont pas encore été lancées, et l’élaboration du projet de loi de l’État partie du Lesotho sur la gestion des ressources de la biodiversité se poursuit.

Les États parties rapportent qu’une autorisation a été accordée pour une évaluation documentaire d’une prospection de gaz de schiste, et qu’une demande de droit de prospection a été déposée pour du gaz et du pétrole, toutes deux sur le territoire de la zone tampon du bien telle que proposée, en Afrique du Sud.

Le 10 octobre 2018, le Centre du patrimoine mondial a adressé un courrier à l’État partie d’Afrique du Sud concernant un recours formé par l’autorité en charge de la gestion du site, the Ezemvelo KZN Wildlife, suite à l’autorisation environnementale accordée pour l’installation d’une station-service dans la zone tampon du bien, en Afrique du Sud. L’État partie débat actuellement de la question.

Le Programme des petites subventions du Fonds pour l’environnement mondial et les autorités en charge de la gestion du site ont achevé, avec le soutien du Fonds en dépôt UNESCO/Pays-Bas, l’élaboration des stratégies de gestion communautaire des zones protégées aux fins de conservation (Community Management of Protected Areas for Conservation – COMPACT) et collectent des fonds pour lancer le programme d’attribution des subventions. Le projet d’assistance internationale destiné à renforcer le forum de conservation communautaire du PNS est sur le point d’être achevé.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2019

Les États parties, ainsi que leurs partenaires dans les domaines de la recherche et de la conservation, semblent avoir réalisé des progrès significatifs dans la finalisation et la mise en œuvre des documents de gestion et dans les réponses aux précédentes demandes du Comité, plus particulièrement en ce qui concerne l’amélioration de la gestion du patrimoine culturel, l’investissement dans la formation et le renforcement de l’engagement des communautés en faveur de la conservation. Le Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022 permettra de juguler les menaces pesant sur de nombreux sites d’art rupestre au Lesotho. Les premières initiatives de conservation devraient toutefois mettre l’accent sur la vulnérabilité immédiate (comme, par exemple, l’organisation très précise de l’accès aux sites) avant l’approbation d’interventions de conservation par l’ICOMOS et les conservateurs accrédités dans le domaine de l’art rupestre, conformément au moratoire en cours. Les Organisations consultatives entreprendront un examen technique du Programme 2019-2022 afin d’assister l’État partie du Lesotho pour définir la mise en œuvre d’interventions prioritaires.

Tout en reconnaissant le travail entrepris pour élaborer des plans de gestion spécifiques pour les incendies, les espèces envahissantes exotiques, le tourisme durable et le patrimoine culturel, il importe d’achever dès que possible l’examen du plan de gestion conjoint, en utilisant ce plan comme un instrument d’harmonisation du système de gestion de plus en plus complexe. Des informations sur la mise en œuvre du plan de gestion conjoint, y compris ses sous-plans spécifiques, permettraient de mieux comprendre l’efficacité de la gestion.

L’achèvement par les États parties des travaux visant à établir une nouvelle zone tampon pour le bien, en Afrique du Sud au sud du PNS, comme demandé par le Comité (décision 37 COM 8B.18) est une bonne chose. Il est important d’officialiser dès que possible la zone tampon au moyen d’une demande de modification mineure des limites, conformément au paragraphe 164 des Orientations.

Le projet de prospection de gaz de schiste, de gaz et de pétrole dans la zone tampon telle que nouvellement proposée peut potentiellement affecter la VUE du bien, et devrait par conséquent faire l’objet d’une évaluation d’impact environnemental (EIE) et d’une évaluation d’impact sur le patrimoine (EIP), avec notamment une évaluation particulière des impacts sur la VUE, conformément à la Note de l’UICN et au Guide de l’ICOMOS, qui seraient soumises pour examen au Centre du patrimoine mondial. Le recours formé par l’autorité en charge du site suite au projet de station-service dans la zone tampon soulève également des préoccupations quant à la compatibilité de ce projet avec la conservation et l’intégrité du bien.

L’engagement réaffirmé de l’État partie d’Afrique du Sud de ne pas prendre de décision avant qu’une EIE et une EIP du projet de téléphérique aient été achevées et soumises à l’examen du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives est accueilli avec satisfaction.

Il est en outre noté que l’État partie du Lesotho n’a pas encore achevé l’élaboration du projet de loi de gestion des ressources de la biodiversité, qui selon la stratégie de tourisme durable doit être finalisée d’ici décembre 2020. Compte tenu du précédent avis du Comité selon lequel son achèvement devrait être accéléré, ce retard est conséquent et la priorité devrait être accordée à sa finalisation dès que possible, et à la transmission d’un exemplaire au Centre du patrimoine mondial.

La proposition d’actualisation de la Déclaration de VUE a été examinée par les Organisations consultatives, et est abordée dans le document du Comité WHC/19/43.COM/8E.

Décisions adoptées par le Comité en 2019
43 COM 7B.38
Parc Maloti-Drakensberg (Lesotho, Afrique du Sud) (C/N 985bis)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 37 COM 8B.18, 39 COM 7B.33 et 41 COM 7B.38, adoptées respectivement à ses 37e (Phnom Penh, 2013), 39e (Bonn, 2015) et 41e (Cracovie, 2017) sessions,
  3. Félicite les États parties pour les efforts déployés afin d’améliorer la gestion du bien, en particulier ses valeurs culturelles, et d’investir dans la formation du personnel et dans des activités visant à renforcer l’engagement des communautés en faveur de la conservation, et encourage les États parties et leurs partenaires à poursuivre leur soutien technique et financier à ces efforts ;
  4. Note la finalisation des documents relatifs à la gestion des incendies, des espèces envahissantes exotiques, du tourisme durable et du patrimoine culturel, et que les Organisations consultatives réaliseront un examen technique de ces plans, en particulier du Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022, afin d’assister les États parties dans la priorisation de la mise en œuvre des actions ;
  5. Réitère sa demande auprès des États parties afin qu’ils achèvent la révision du plan de gestion conjoint du bien, en utilisant cet instrument afin d’harmoniser le système de gestion, qu’ils soumettent le plan à l’examen du Centre du patrimoine mondial et qu’ils fassent rapport de sa mise en œuvre ;
  6. Note également l’achèvement du processus d’établissement d’une nouvelle zone tampon du bien, en Afrique du Sud, au sud du parc national de Sehlabathebe, et demande aux États parties d’officialiser la zone tampon dès que possible au moyen d’une demande de modification mineure des limites, conformément au paragraphe 164 des Orientations;
  7. Prend acte de la préparation du Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022 pour le parc national de Sehlabathebe, et demande également aux États parties de remédier à la vulnérabilité immédiate des sites d’art rupestre mais d’attendre l’approbation de l’ICOMOS et des conservateurs autorisés dans le domaine de l’art rupestre pour mener des interventions de conservation, conformément au moratoire sur les interventions de conservation non urgentes ;
  8. Note avec préoccupation les projets de prospection de gaz de schiste, de gaz et de pétrole sur le territoire de la zone tampon du bien telle que nouvellement proposée en Afrique du Sud, qui seraient susceptibles d’avoir des impacts négatifs sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, et demande en outre à l’État partie d’Afrique du Sud de soumettre au Centre du patrimoine mondial une évaluation d’impact environnemental et d’impact sur le patrimoine pour ces projets, avec notamment une évaluation des impacts sur la VUE du bien, conformément à la Note de l’UICN et au Guide de l’ICOMOS, avant que des décisions difficilement réversibles ne soient prises, conformément au paragraphe 172 des Orientations
  9. Note en outre les préoccupations soulevées et le recours formé par l’autorité en charge de la gestion du site suite au projet de station-service dans la zone tampon du bien en Afrique du Sud, et demande par ailleurs à l’État partie de répondre à ces préoccupations et de faire rapport de la suite donnée ;
  10. Prend note de l’engagement réitéré de l’État partie d’Afrique du Sud d’entreprendre une évaluation d’impact environnemental et sur le patrimoine pour le projet de téléphérique en Afrique du Sud et de ne prendre aucune décision avant que ces évaluations ne soient soumises au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
  11. Réitère également sa demande auprès de l’État partie du Lesotho afin qu’il accélère la finalisation du projet de loi de gestion des ressources de la biodiversité et qu’il en soumette un exemplaire au Centre du patrimoine mondial ;
  12. Demande enfin aux États parties de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
43 COM 8B.55
Parc Maloti-Drakensberg (Afrique du Sud et Lesotho)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/8B.Add,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7B.38 adoptée à sa 41esession (Cracovie, 2017),
  3. Adopte la déclaration de valeur universelle exceptionnelle légèrement mise à jour pour le Parc Maloti-Drakensberg, Afrique du Sud et Lesotho.
Projet de décision : 43 COM 7B.38

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 37 COM 8B.18, 39 COM 7B.33 et 41 COM 7B.38, adoptées respectivement à ses 37e (Phnom Penh, 2013), 39e (Bonn, 2015) et 41e (Cracovie, 2017) sessions,
  3. Félicite les États parties pour les efforts déployés afin d’améliorer la gestion du bien, en particulier ses valeurs culturelles, et d’investir dans la formation du personnel et dans des activités visant à renforcer l’engagement des communautés en faveur de la conservation, et encourage les États parties et leurs partenaires à poursuivre leur soutien technique et financier à ces efforts ;
  4. Note la finalisation des documents relatifs à la gestion des incendies, des espèces envahissantes exotiques, du tourisme durable et du patrimoine culturel, et que les Organisations consultatives réaliseront un examen technique de ces plans, en particulier du Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022, afin d’assister les États parties dans la priorisation de la mise en œuvre des actions ;
  5. Réitère sa demande auprès des États parties afin qu’ils achèvent la révision du plan de gestion conjoint du bien, en utilisant cet instrument afin d’harmoniser le système de gestion, qu’ils soumettent le plan à l’examen du Centre du patrimoine mondial et qu’ils fassent rapport de sa mise en œuvre ;
  6. Note également l’achèvement du processus d’établissement d’une nouvelle zone tampon du bien, en Afrique du Sud, au sud du parc national de Sehlabathebe, et demande aux États parties d’officialiser la zone tampon dès que possible au moyen d’une demande de modification mineure des limites, conformément au paragraphe 164 des Orientations ;
  7. Prend acte de la préparation du Programme de mise en œuvre du patrimoine culturel 2019-2022 pour le parc national de Sehlabathebe, et demande également aux États parties de remédier à la vulnérabilité immédiate des sites d’art rupestre mais d’attendre l’approbation de l’ICOMOS et des conservateurs autorisés dans le domaine de l’art rupestre pour mener des interventions de conservation, conformément au moratoire sur les interventions de conservation non urgentes ;
  8. Note avec préoccupation les projets de prospection de gaz de schiste, de gaz et de pétrole sur le territoire de la zone tampon du bien telle que nouvellement proposée en Afrique du Sud, qui seraient susceptibles d’avoir des impacts négatifs sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, et demande en outre à l’État partie d’Afrique du Sud de soumettre au Centre du patrimoine mondial une évaluation d’impact environnemental et d’impact sur le patrimoine pour ces projets, avec notamment une évaluation des impacts sur la VUE du bien, conformément à la Note de l’UICN et au Guide de l’ICOMOS, avant que des décisions difficilement réversibles ne soient prises, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  9. Note en outre les préoccupations soulevées et le recours formé par l’autorité en charge de la gestion du site suite au projet de station-service dans la zone tampon du bien en Afrique du Sud, et demande par ailleurs à l’État partie de répondre à ces préoccupations et de faire rapport de la suite donnée ;
  10. Prend note de l’engagement réitéré de l’État partie d’Afrique du Sud d’entreprendre une évaluation d’impact environnemental et sur le patrimoine pour le projet de téléphérique en Afrique du Sud et de ne prendre aucune décision avant que ces évaluations ne soient soumises au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
  11. Réitère également sa demande auprès de l’État partie du Lesotho afin qu’il accélère la finalisation du projet de loi de gestion des ressources de la biodiversité et qu’il en soumette un exemplaire au Centre du patrimoine mondial ;
  12. Demande enfin aux États parties de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
Année du rapport : 2019
Lesotho Afrique du Sud
Date d'inscription : 2000
Catégorie : Mixte
Critères : (i)(iii)(vii)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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