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Zone de gestion des Pitons

Sainte-Lucie
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Impact des activités touristiques/de loisirs des visiteurs
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables (exploration d’énergie géothermale) 
  • Absence de procédure de contrôle strict de l’aménagement (question résolue)
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 1 (de 2002-2002)
Montant total approuvé : 19 950 dollars E.U.
2002 Preparatory assistance for preparing a tentative list ... (Approuvé)   19 950 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Mars 2010 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 21 décembre 2015, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/1161/documents. Ce rapport présente les avancées comme suit :

  • Alors que le bien continue d’attirer les investisseurs et aménageurs potentiels, l’État partie concentre principalement ses efforts sur la mise en œuvre des recommandations de l’étude de 2013 sur les limites de changement acceptable (LCA) qui fut entérinée en avril 2015 par le Conseil des ministres en tant qu’instrument d’évaluation des demandes d’aménagement au sein du bien. L’intégration des recommandations de l’étude dans la politique générale et dans d’autres règles d’aménagement pour le bien est soulignée, y compris le projet de cahier des charges et de notes directives visant à inclure ces recommandations en tant que règlement dans la loi sur le développement et l’aménagement du territoire (2001) ;
  • S’agissant des ressources géothermales, la situation actuelle est toujours limitée à une exploration non invasive dont il est indiqué qu’elle n’a actuellement pas d’impact sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien. Par ailleurs, les premiers constats laissent penser que le chevauchement entre les zones au potentiel géothermique et le bien serait limité, voire inexistant ;
  • Dans le cadre d’une campagne de sensibilisation plus large, l’État partie a organisé une opération réussie d’éradication de plantes allogènes envahissantes sur le sentier de découverte de la nature de Gros Piton. D’autres activités de sensibilisation des communautés et du public sont spécifiquement axées sur le statut de patrimoine mondial du bien ;
  • Les termes de référence pour l’actualisation du plan de gestion de la zone de gestion des Pitons (ZGP) est en cours d’élaboration ;
  • L’étude LCA recommandait deux modifications mineures des zones au sein du bien, avec différents niveaux de restriction sur le développement (secteurs stratégiques 1, 3 et 4), lesquelles ne peuvent être mises en œuvre qu’après étude de la modification des limites. L’État partie a l’intention de solliciter l’assistance du Centre du patrimoine mondial pour trouver un financement à cette opération. Il note également les difficultés inhérentes au tracé des limites en raison de l’existence d’emprises foncières privées au sein du bien ;
  • La construction de villas a déjà commencé dans le cadre du projet de Freedom Bay ; toutefois, plusieurs institutions gouvernementales sont impliquées dans le suivi du projet et veillent à sa conformité avec l’étude LCA, et un comité de suivi de Freedom Bay a été créé à cette fin. Des discussions sont également en cours avec les aménageurs du projet de Sugar Beach avec l’objectif de garantir la conformité avec l’étude LCA ; le réengagement de la société de conseil responsable de l’élaboration de l’étude a été proposé afin qu’elle fournisse ses services à cet égard.

Le 4 mai 2016, le Centre du patrimoine mondial a envoyé une lettre à l’État partie, concernant des informations provenant d’un tiers, ayant soulevé des inquiétudes sur la vente récente d’un terrain au sein du bien à un entrepreneur privé. Le 10 mai 2016, l’État partie a répondu que cette vente a dû être abandonnée, étant donné que le terrain concerné était situé dans le secteur stratégique 1, où aucune construction n’est permise par l’étude LCA.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Il est recommandé que le Comité accueille favorablement l’adoption de l’étude LCA par le Conseil des ministres. Il est noté que l’étude semble avoir suscité un débat nourri et important et qu’elle a apporté des informations directes pour trouver une approche mieux équilibrée de la conservation et du développement. Les efforts d’accompagnement pour sensibiliser le public sont louables. Néanmoins, l’inclusion des recommandations de l’étude dans une législation applicable reste à faire.

Selon le rapport de l’État partie, les inquiétudes au sujet de la localisation de ressources géothermales potentielles au sein du bien ou dans son voisinage immédiat sont sans fondement. Au stade actuel d’exploration non invasive, les constats laissent penser que le chevauchement avec le bien serait mineur, voire inexistant. Cependant, toute exploration ou utilisation ultérieure de l’énergie géothermale nécessiterait une évaluation appropriée des impacts potentiels sur le bien, même si son exploitation ne se déroulait pas au sein du bien.

Les efforts visant à éradiquer les plantes allogènes envahissantes le long d’un parcours très fréquenté, associés à une sensibilisation du public, sont exemplaires. Toutefois, il est peu vraisemblable qu’une approche limitée à de tels événements éphémères puisse effectivement conduire à l’éradication des plantes envahissantes. Un suivi systématique et permanent est nécessaire pour guider les réponses en matière de gestion.

L’intention consistant à examiner et réviser le plan de gestion du bien dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de travail sur les aires protégées (PdTAP) de la Convention sur la diversité biologique est notée. Toutefois, l’État partie ne développe pas ultérieurement ce processus même si ce dernier semble être hautement pertinent pour la gestion du bien. Il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de fournir des informations supplémentaires sur cette procédure, y compris sur la façon dont les conclusions de l’étude LCA seront intégrées au processus d’examen, ainsi que sur l’échéancier prévu.

Il est noté que l’État partie a l’intention d’entreprendre une étude et une modification du tracé des limites des zones stratégiques au sein du bien ; il est par conséquent recommandé que le Comité demande également à l’État partie de donner plus de précisions sur les activités prévues et leurs objectifs, ainsi que sur les difficultés inhérentes au tracé en raison de l’existence d’emprises foncières privées. 

Il est considéré que les problèmes les plus critiques sont toujours les projets de développement au sein du bien. En dépit de la finalisation et de l’adoption de l’étude LCA et d’un cadre réglementaire qui évolue dans la bonne direction, le processus de prise de décision n’est toujours pas clair, ce qui est également dû au fait que le processus d’intégration des recommandations de l’étude LCA dans la loi sur le développement et l’aménagement du territoire vient de commencer.

S’agissant des projets d’aménagement de Freedom Bay et de Sugar Beach, tout en espérant que le dialogue avec les aménageurs conduira à un équilibre mutuellement acceptable et conforme avec le statut de patrimoine mondial de la ZGP, l’absence de mécanisme contraignant en cas d’échec du dialogue pour aboutir à un consensus, y compris concernant l’intégrité visuelle, est notée. La confirmation de l’État partie qu’une vente de terrain au sein de la zone stratégique 1 du bien à un entrepreneur privé a été récemment rejeté, est notée. Néanmoins, l’information provenant d’un tiers à laquelle se réfère la lettre envoyée par le Centre du patrimoine mondial a également mentionné que l’intérêt de poursuivre les plans de construction est toujours manifesté par l’entrepreneur. Rappelant la demande précédente du Comité « de n’autoriser aucun aménagement considéré comme dépassant les LCA », il est noté que le dépassement des limites de changement acceptable déclencherait la considération d’une inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril, conformément au paragraphe 180 des Orientations.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7B.77
Zone de gestion des Pitons (Sainte-Lucie) (N 1161)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7B.85, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Accueillant favorablement les efforts de l’État partie et des soutiens extérieurs pour répondre aux menaces pesant sur le bien qui découlent des plantes allogènes envahissantes, y compris en investissant dans la communication et la sensibilisation du public, encourage l’État partie à poursuivre et à accroître ces efforts ;
  4. Accueillant aussi favorablement l’adoption de l’étude des limites de changement acceptable (LCA) par le Conseil des ministres, note que la procédure d’intégration des recommandations de l’étude LCA dans la loi sur le développement et l’aménagement du territoire a commencé, et demande à l’État partie de finaliser en priorité l’intégration de ces recommandations dans le cadre législatif et institutionnel national pour garantir l’application du respect de ces recommandations ;
  5. Note également la confirmation par l’État partie qu’un dialogue avec les aménageurs des projets de Freedom Bay et de Sugar Beach est en cours, qui vise à s’assurer que les aménagements seront conformes aux recommandations de l’étude LCA ;
  6. Réitère sa considération qu’en cas d’autorisation de tout développement dépassant les limites de changement acceptable ou ayant un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, l’intégrité du bien s’en trouverait clairement compromise, ce qui conduirait à envisager l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril, conformément au paragraphe 180 des Orientations;
  7. Encourage également l’État partie à respecter pleinement les conclusions de l’étude LCA dans la révision prévue du plan de gestion, et demande également à l’État partie de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du plan de gestion révisé pour examen par le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ;
  8. Note en outre l’intention affirmée de l’État partie d’entreprendre un tracé des limites des zones stratégiques au sein du bien (zones avec différents niveaux de restriction sur le développement) et de solliciter l’assistance du Centre du patrimoine mondial pour trouver un financement à cette opération, et demande en outre à l’État partie de fournir au Centre du patrimoine mondial plus de détails sur les activités prévues et leurs objectifs, ainsi que sur les difficultés inhérentes au tracé notées par l’État partie en raison de l’existence d’emprises foncières privées au sein du bien ;
  9. Note par ailleurs les premières conclusions selon lesquelles le potentiel géothermal de Sainte-Lucie ne présente pas de chevauchement important avec le bien, et demande par ailleurs à l’État partie d’informer le Comité de tout développement géothermal qui pourrait directement ou indirectement impacter la VUE du bien ;
  10. Demande de plus à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018.
40 COM 8E
Adoption des Déclarations retrospectives de valeur universelle exceptionnelle

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/8E.Rev,
  2. Félicite les États Parties pour l’excellent travail accompli dans l’élaboration de Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle pour les biens du patrimoine mondial dans leurs territoires ;
  3. Adopte les Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle, telles que présentées dans l’Annexe du document WHC/16/40.COM/8E.Rev, pour les biens du patrimoine mondial suivants :

AMÉRIQUE LATINE ET CARAÏBES

  • Argentine / Brésil : Missions jésuites des Guaranis : San Ignacio Mini, Santa Ana, Nuestra Señora de Loreto et Santa Maria Mayor (Argentine), ruines de Sao Miguel das Missoes (Brésil) ;
  • Brésil : Parc national d’Iguaçu ;
  • Costa Rica : Parc national de l'île Cocos ;
  • Equateur : Parc national Sangay ;
  • Sainte-Lucie : Zone de gestion des Pitons ;

EUROPE ET AMERIQUE DU NORD

  • Allemagne - Royaume Uni : Frontières de l’Empire romain ;
  • Autriche : Centre historique de Vienne ;
  • Canada - États-Unis d’Amérique : Kluane / Wrangell-St Elias / Glacier Bay / Tatshenshini-Alsek ;
  • Espagne : Alhambra, Generalife et Albaicin, Grenade ; Églises romanes catalanes de la Vall de Boí ; Ensembles monumentaux Renaissance de Úbeda et Baeza ; Remparts romains de Lugo ; Université et quartier historique d'Alcalá de Henares ;
  • États-Unis d’Amérique : La Fortaleza et le site historique national de San Juan à Porto Rico ;
  • Grèce : Centre historique (Chorá) avec le monastère de Saint Jean « le théologien » et la grotte de l'Apocalypse sur l'île de Patmos ; Monastères de Daphni, de Hosios Loukas et Nea Moni de Chios ; Monuments paléochrétiens et byzantins de Thessalonique ; Pythagoreion et Heraion de Samos ; Site archéologique d'Aigai (nom moderne Vergina) ; Site archéologique de Delphes ; Site archéologique de Mystras ; Ville médiévale de Rhodes ; Temple d'Apollon Épikourios à Bassae ;
  • Italie : Cathédrale, Torre Civica et Piazza Grande, Modène ; Les trulli d’Alberobello ; Su Nuraxi de Barumini ; Zone archéologique et la basilique patriarcale d’Aquilée ;
  • Pays-Bas : Ligne de défense d'Amsterdam ; Réseau des moulins de Kinderdijk-Elshout ;
  • Pologne : Auschwitz Birkenau
    Camp allemand nazi de concentration et d'extermination (1940-1945) ;
    Centre historique de Kraków ; Château de l’ordre Teutonique de Malbork ; Églises de la Paix à Jawor et Świdnica ; Églises en bois du sud de Małopolska ; Kalwaria Zebrzydowska : ensemble architectural maniériste et paysager et parc de pèlerinage ; Vieille ville de Zamość ; Ville médiévale de Toruń ;
  • Portugal : Centre historique de Guimarães ; Centre historique de Porto ; Centre d'Angra do Heroismo aux Açores ; Couvent du Christ à Tomar ; Monastère de Batalha ;
  • République Tchèque : Centre historique de Český Krumlov ; Centre historique de Telč ; Colonne de la Sainte Trinité à Olomouc ; Église Saint-Jean-Népomucène, lieu de pèlerinage à Zelená Hora ; Jardins et château de Kroměříž ; Le quartier juif et la basilique Saint-Procope de Třebíč ; Kutná Hora : le centre historique de la ville avec l'église Sainte-Barbe et la cathédrale Notre-Dame de Sedlec ; Paysage culturel de Lednice-Valtice ; Centre historique de Prague; Villa Tugendhat à Brno ; Village historique d’Holašovice ;
  • Suède : Birka et Hovgården ; Domaine royal de Drottningholm ; Paysage agricole du sud d’Öland ; Port naval de Karlskrona ; Région de Laponie ; Ville-église de Gammelstad, Luleå ; Skogskyrkogården ; Station radio Grimeton, Varberg ; Zone d'exploitation minière de la grande montagne de cuivre de Falun ;
  1. Décide que les Déclarations rétrospectives de valeur universelle exceptionnelle des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril seront examinées en priorité par les Organisations consultatives ;
  2. Demande aux États parties de fournir un soutien au Centre du patrimoine mondial pour la traduction des Déclarations de valeur universelle exceptionnelle adoptées vers l’anglais ou le français selon les cas, et demande en outre au Centre du patrimoine mondial de publier les versions dans les deux langues sur son site Internet.
Projet de décision : 40 COM 7B.77

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7B.85, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Accueillant favorablement les efforts de l’État partie et des soutiens extérieurs pour répondre aux menaces pesant sur le bien qui découlent des plantes allogènes envahissantes, y compris en investissant dans la communication et la sensibilisation du public, encourage l’État partie à poursuivre et à accroître ces efforts ;
  4. Accueillant aussi favorablement l’adoption de l’étude des limites de changement acceptable (LCA) par le Conseil des ministres, note que la procédure d’intégration des recommandations de l’étude LCA dans la loi sur le développement et l’aménagement du territoire a commencé, et demande à l’État partie de finaliser en priorité l’intégration de ces recommandations dans le cadre législatif et institutionnel national pour garantir l’application du respect de ces recommandations ;
  5. Note également la confirmation par l’État partie qu’un dialogue avec les aménageurs des projets de Freedom Bay et de Sugar Beach est en cours, qui vise à s’assurer que les aménagements seront conformes aux recommandations de l’étude LCA ;
  6. Réitère sa considération qu’en cas d’autorisation de tout développement dépassant les limites de changement acceptable ou ayant un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, l’intégrité du bien s’en trouverait clairement compromise, ce qui conduirait à envisager l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril, conformément au paragraphe 180 des Orientations ;
  7. Encourage également l’État partie à respecter pleinement les conclusions de l’étude LCA dans la révision prévue du plan de gestion, et demande également à l’État partie de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du plan de gestion révisé pour examen par le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ;
  8. Note en outre l’intention affirmée de l’État partie d’entreprendre un tracé des limites des zones stratégiques au sein du bien (zones avec différents niveaux de restriction sur le développement) et de solliciter l’assistance du Centre du patrimoine mondial pour trouver un financement à cette opération, et demande en outre à l’État partie de fournir au Centre du patrimoine mondial plus de détails sur les activités prévues et leurs objectifs, ainsi que sur les difficultés inhérentes au tracé notées par l’État partie en raison de l’existence d’emprises foncières privées au sein du bien ;
  9. Note par ailleurs les premières conclusions selon lesquelles le potentiel géothermal de Sainte-Lucie ne présente pas de chevauchement important avec le bien, et demande par ailleurs à l’État partie d’informer le Comité de tout développement géothermal qui pourrait directement ou indirectement impacter la VUE du bien ;
  10. Demande de plus à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018.
Année du rapport : 2016
Sainte-Lucie
Date d'inscription : 2004
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(viii)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2015) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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